Dans une volumineuse circulaire, Jean-Pierre Chevènement présente les conditions d'emploi, de recrutement et de formation des adjoints de sécurité, les emplois-jeunes du ministère de l'Intérieur. Tirant les leçons des premiers bilans d'application du dispositif, elle remplace et abroge les instructions générales données en 1997.
Le ministre de l'Intérieur insiste, en particulier, pour que « les recrutements permettent d'intégrer des jeunes des quartiers sensibles, dans lesquels il importe d'affirmer la tranquillité et la sécurité publiques ».