2 154 personnes avaient été embauchées en emplois-jeunes, fin mai, dans le secteur de la famille, de la santé et de la solidarité. Soit, 14,2 % des 15 160 emplois-jeunes occupés à cette date, à l'exclusion de ceux gérés directement par les ministères de l'Education nationale et de l'Intérieur. A cela s'ajoutent les 1 222 emplois-jeunes du secteur du logement et de la vie de quartier et les 60 relevant de la Justice. C'est ce qui ressort des chiffres sur le programme « nouveaux services - nouveaux emplois », présentés, le 26 juin, devant le Conseil supérieur du travail social (CSTS). Une réunion qui avait lieu en l'absence de Martine Aubry dont la présence avait pourtant été évoquée à plusieurs reprises. Si l'on additionne les objectifs d'emplois des différents accords-cadres déjà signés, pas moins de 18 390 emplois-jeunes devraient ainsi être créés, dans un délai de trois ans, dans le domaine de la solidarité et du développement local, et 1 550 dans le secteur de la justice et de la médiation.
LE SOCIAL EN ACTION
Le CSTS fait le point sur les emplois-jeunes
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