35 heures. Concernant la mise en œuvre des 35 heures dans le secteur social et médico-social, « la seule question est de savoir ce que le gouvernement compte débloquer comme moyens financiers et comment ces aides évolueront dans le temps », estime François Chérèque, secrétaire général de la CFDT Santé-sociaux. Sachant, précise-t-il, que les solutions retenues pour le social et le médico-social « risquent de conditionner les réponses qui pourront être apportées au secteur public dans ce domaine ». Evoquant, par ailleurs, l'application concrète de la nouvelle loi, il n'existe pas de « problème incontournable », considère le responsable syndical qui ne souhaite pas lier la question des congés trimestriels ou des classifications (pour la CC 51) à celle de la réduction du temps de travail.
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