« Pourquoi lier la rémunération des gardes et astreintes à la discussion sur les 35 heures ? », interroge l'UFAS-CGT (1). Revenant sur la position du directeur général du SNAPEI, sur la réduction du temps de travail (2), le syndicat regrette que les responsables du secteur engagent la négociation « avec un préalable qui envisage une dégradation des conditions de travail ».
« Nous tenons à ce que la réduction du temps de travail crée des emplois [...], en conservant des repos hebdomadaires sur le rythme de la quatorzaine », explique son secrétaire général, Jean-Yves Baillon. Ce qui l'amène à préconiser une semaine à 32 heures hebdomadaires, soit 4 jours de 8 heures.
(1) UFAS-CGT Case 538 - 93515 Montreuil cedex - Tél. 01 48 18 20 89.
(2) Voir ASH n° 2066 du 10-04-98.