L'Assemblée nationale devait adopter, dans la soirée du 8 avril, le projet de loi relatif à l'entrée et au séjour des étrangers en France et au droit d'asile (Reseda) (1). Mais le vote de ce texte, ardemment défendu par le ministre de l'Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, s'annonçait serré en raison de l'opposition de cinq députés écologistes sur six et de l'abstention du groupe communiste.
Notes
(1) Voir ASH n° 2041 du 17-10-97.