La mise en commun des aspects sanitaires et sociaux des problèmes posés par l'infection à VIH et le sida doit « se retrouver » au niveau des services déconcentrés, indique le directeur de l'action sociale dans une note adressée aux DDASS et DRASS.
Ainsi tant les chargés de mission sida des services déconcentrés que les plans départementaux de lutte contre le sida devront intégrer cette dimension sociale. Un apport de crédits au financement de ces plans pourra, si nécessaire, être envisagé.
Rappelons que, afin de rendre plus efficace la lutte contre l'infection à VIH, la division sida est devenue, depuis une circulaire du 27 octobre 1995, une division commune à la direction générale de la santé et à la direction de l'action sociale traitant ainsi l'ensemble des dossiers concernant le sida, apportant son expertise scientifique à tous les services concernés et se chargeant également de l'organisation des manifestations et de l'instruction des demandes d'aide financière.